
CONCLUSION
En conclusion, nous pouvons dire qu’un athlète se dope pour aller au-delà de ses limites physiques. Comme nous l’avons vu dans notre exposé, les logiques sportives qui amènent tel ou tel sportif à se doper sont nombreuses à travers l’histoire. Nos analyses, questionnements, recherches, interviews et expériences nous ont permis de mieux comprendre comment l’utilisation de produits permet dans un premier temps d’améliorer les performances des sportifs mais également comment cette pratique devient rapidement dangereuse pour la santé des athlètes avec les différents mécanismes qui font entrer les utilisateurs dans un cercle vicieux. De plus nous avons vu les risques et sanctions encourus à travers différents exemples. De même notre réflexion sur l’importance des médias qui sont au centre de cet univers complexe, médias qui dénoncent, qui enquêtent, qui publient et qui profitent du spectacle sportif...
Nous pouvons donc affirmer qu’il y a pas d’avantage à se doper, que “ le jeu n’en vaut pas la chandelle “. Même si la lutte anti-dopage avance il faut poursuivre la prévention, l’éducation, l’encadrement des sportifs. Lutter pour un sport “ propre “ est une réelle ambition mais lorsque l’on assiste à un dopage d’état comme en Russie on se rend bien compte que la lutte contre ce fléau est loin d’être terminée…